L’APTA contribue à la protection l’homme et son environnement des risques qu’engendrent les parasites et les animaux nuisibles notamment dans le bâti tropical.

Contrôler ces nuisibles, c’est préserver la santé de l’homme, mais c’est aussi protéger ses ressources alimentaires, ses richesses économiques, dont le bâti tropical et son environnement. Tous les secteurs économiques et sociaux sont concernés: industries, commerces, établissements publics ou privés, habitat…

L’APTA, depuis sa création en 1995, est une association de loi 1901 constituée de professionnels dont l’activité principale est basée à La Réunion. Les 6 entreprises représentées dans l’APTA relèvent de l’activité dite 3D  “Désinfection, désinsectisation, dératisation”  ou « PEST CONTROL » dans le milieu anglophone, code NAF 8129A. Concernant la lutte antiparasitaire contre les termites, elles bénéficient, notamment, d’une reconnaissance nationale du centre technique industriel de la filière bois FCBA, bois de structure pour la construction et bois d’ameublement, pour la qualité de leur travail par la certification CBTA+. 

En lien avec les autorités de la santé et hygiène du territoire, la filière du bâtiment et de la construction en milieu tropical, les collectivités, les services de l’Etat DEAL, DIECCTE et plus particulièrement la chambre consulaire, Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la Région Réunion, CMAR, l’APTA promeut les bonnes pratiques de la filière et agit pour l’environnement. L’APTA prend en compte la réglementation européenne REACH pour circulation des substances chimiques depuis 2007 et  est soumise depuis 2012 à  la Directive européenne Biocides. Ces mesures réglementaires s’inscrivent dans la démarche qualitative des entreprises adhérentes.

1. 1. Par une action de terrain de tous les jours, afin de toujours mieux connaître la faune tropicale en lien avec les habitants et les lieux de vie urbanisés.
   2. Par l’usage raisonné et ciblé de produits biocides spécifiques aux différents nuisibles et conformes à la réglementation européenne REACH qui retire progressivement les substances chimiques préoccupantes pour la santé de l’homme et l’environnement et qui de plus, exige de cibler de plus en plus les espèces et non le genre des nuisibles. Par exemple, la lutte contre le termite souterrain distingue aujourd’hui la lutte contre le Coptotermes gestroi et celle contre le Prorhinotermes canalifrons, tous deux termites souterrains présents dans le bâti à La Réunion, et ce grâce à une alerte de l’APTA.